Nom: Kelfra
Prénom : Leotham
Surnom : Vengeance.
Surnom public: Loup de Givre.
Nom public : Eynes Gothalgos.
Sexe : Masculin.
Race : Mort-vivant.
Age : Inconnu.
Classe / Profession : Chevalier de la mort du Givre.
Les couleurs d’Hurlevent ornaient les tabards et les drapeaux qui flottaient grâce à une fine brise. Les soldats étaient positionnés sur une petite colline, dominant le futur champs de bataille. De l’autre côté, des orcs, virant du vert au brun, des armes allant de la hache à la masse. La majorité grattaient un membre de leur corps, un harnais en cuir faisait office d’armure. Derrière eux, leurs supérieurs, criaient des ordres pour essayer de mettre leurs troupes en ligne. Chose peu facile avec ces monstres immenses qui ne faisaient que pousser des cris de guerre, tentant d’effrayer leurs ennemis. Ces ennemis étaient les divisions de l’infanterie d’Hurlevent. Les lions d’or sur fond bleu étaient un peu partout, sur les armures lourdes des soldats, comme sur les boucliers en passant par les robes de mage. Les soldats avaient tous des épées avec un bouclier. Les rangs étaient tellement parfait que l’on pouvait croire à un défilé des troupes, la première ligne était droite comme une épée, donnant l’impression que ces hommes ne formaient qu’un, étant le bouclier de l’armée. Derrière eux, parsemés dans les formations de soldats, on pouvait voir des hommes avec une armure plus fine, mais avec deux épées. Ils avaient l’air plus rapides que les autres, plus agiles, plus… Magiques ! Si l’on regardait bien, on pouvait voir une fine aura sur leurs armes provenant de leurs poignets. Derrière ces soldats, il y avait les mages, robe basique avec un bâton blanc ou brun…
Soudain, du côté humain, un cor sonna, laissant la place à un silence mortuaire. Quelques secondes après, un Lieutenant prit la parole :
-Soldats ! L’heure de la gloire est arrivée, l’heure de VOTRE gloire ! Le choix est entre vos mains : Mourir ici, ou rentrer chez vous et revoir vos femmes et vos enfants ! Battez-vous pour Hurlevent, ses couleurs, ses valeurs, ses habitants ! Vous êtes les fiers défenseurs d’Hurlevent ! Battez-vous jusqu’à ce qu’il n’en reste plus un ! Pas de prisonniers !
De l’autre côté, un chef avait aussi prit la parole, sans doute à peu près le même discours. Des trompettes sonnèrent…
-En avant, fiers défenseurs d’Hurlevent !
Les troupes se mirent en marche, une marche lente, comme la mort douloureuse…
De l’autre côté, les orcs chargeaient tels des bêtes avides de combat et de sang.
Arrivés en bas de la colline, les humains forment une muraille parfaite, s’attendant à un choc des plus brutaux, ils prenaient leurs appuis. Une jambe en arrière pour retenir le coup. Ils regardaient les immenses bêtes s’approcher. En deuxième ligne, un de ces soldats à deux épées se tenait prêt, on le surnommait : « Le loup de givre », c’était un magelame, ou mage de guerre. Ses épées en avant, avec des appuis en arrière, comme pour sauter. La sueur perlait sur son front, le casque l’empêchait de tout voir, lui donnant l’impression de regarder dans une serrure. Il enlevât son casque, l’accrocha à sa ceinture, derrière, pour ne pas le gêner dans ses futurs mouvements.
Les orcs approchaient, la terre tremblait, les armes en l’air, ils avançaient vers la muraille, encore, encore, encore… 100 mètres… 50 mètres… 25 mètres… 10 mètres !
-TENEZ BON, SOLDATS ! cria le Lieutenant.
Les bêtes foncèrent sur la muraille, un énorme bruit de métal se fit entendre. Les soldats avaient du mal à tenir, la stratégie était d’attendre les ordres… Quelques secondes plus tard…
-DEFENDEZ VOS FEMMES ET VOS ENFANTS ! ATTAQUEZ !
A ces mots, le magelame fonça au-delà de la muraille, comme un loup, déployant tout son corps. Une épée en avant, un javelot de givre fut propulser de sa main, touchant un orc à la tête, le désorientant. L’épée du « loup de givre » finit dans la poitrine de son premier ennemi, la seconde lame, dans la bouche de l’orc qui criait derrière son camarade. Il se propulsa en arrière grâce à ses jambes qui étaient sur les jambes de la première bête. Pendant ce temps, la muraille se dispersât, donnant place à un champs de bataille où les morts se comptaient par centaines. Le magelame commença une course folle parmi les combats. Puis s’arrêta face à un orc imposant, un duel parmi la bataille s'engagea, le Magelame fonça, l'orc, d'une revers de hache, le propulsa en l'air, et retomba dans un grand fracas d'armure. L'Orc abattait déjà sa hache au dessus de l'humain, mais ce dernier, dans un élan, lança un javelot qui gêla les mains de l'orc quelques secondes, suffisantes pour pouvoir propulser ses deux lames dans le torse de l'orc, qui s'effondra dans un cri d'agonie.
Soudain, un cor sonna, des pluies de boules de feus fondirent sur les bêtes, les tuant les unes après les autres. Le combat se termina très vite, en une heure environ… Ces orcs n’étaient que des néophytes défendant leur village, de simples éleveurs de cochons. Après le ramassage des corps humains, l’armée fit demi-tours vers le campement. 50 tentes alignées, deux hommes dans chaque. Le soleil se couchait, les veilleurs allumèrent les lanternes et les torches. Dans une tente un peu plus grande que les autres, il y avait notre fameux combattant avec deux de ses congénères…
Soudain, un soldat en tenue de repos entra :
-Caporal Leotham Kelfra, le Lieutenant désire vous voir immédiatement. Dit le soldat.
-Bien, dis-lui que j’arrive. Répliqua le guerrier.
Le garde sorti de la tente, suivit quelques secondes plus tard par Leotham, ses deux épées à la ceinture, le casque toujours dans son dos, toujours accroché à sa ceinture. Ses lames venaient d’être lavées et aiguisées, elles brillaient à la lumière des torches. Pendant qu’il marchait, le Caporal regardait les soldats devant leur tente, parfois ils jouaient aux dés ou aux cartes, d’autres jouaient au ballon pendant que d’autres s’entrainaient avec diverses armes. Arrivés à la plus grande tente du campement, le soldat ouvrit le rideau d’entrée et laissa passer Leotham. La pièce était entièrement éclairée par des lanternes, une table avec des cartes et des papiers était au centre, des chaises éparpillées autour. Il y avait trois hommes dans la tente, Leotham les connaissait tous, à gauche le Lieutenant artilleur, au centre, le Commandant et à droite le Lieutenant de l’infanterie.
-Approchez-vous, Caporal. Commença le Commandant avec une simplicité
-Bonsoir, mes officiers. Répliqua le Caporal tout en avançant.
Arrivé devant la table, le Commandant reprit la parole :
-Votre Lieutenant m’a fait part des vos exploits aux combats, Caporal, vous avez facilement réduit les rangs adverses. Je vous propose donc quelque chose… Le Caporal écoutait avec une forte attention.
Après discution avec mes confrères, j’ai décidé de mettre sous vos ordres une escouade, qui comprend 12 hommes, et vous passerez donc, Sergent.
-Et bien, j’accepte avec plaisir, c’est un honneur mon Commandant. Dit Leotham tout en saluant.
-Non, c’est un honneur de vous avoir dans mes rangs, Sergent. Contra la Commandant avec un sourire. Il reprit : Vous choisirez vos hommes demain à l’aube et rendrez donc public votre promotion à notre retour à Hurlevent. Vous pouvez disposer, bonne nuit.
-Vous aussi.
Ils firent tout les quatre un salut, les officiers continuèrent la conversation entre eux pendant que le Sergent sortait. La nuit se passe très facilement, il dormit comme un bébé. Au réveil, l’armée pliait déjà bagages. Dans tout ce déménagement, Leotham alla à la tente des Caporaux de soldats pour choisir une des escouades, dirigées par ces Caporaux, et donc l’avoir sous ses ordres. Le premier Caporal, grand, sec, barbus dirigeait une équipe plutôt « défensive », pas spécialement attaquante, mais à elle seule elle formait une barrière impénétrable, elle faisait partie de la ligne de front. Le deuxième, petit, costaud comme un nain, rasé, l’armure toujours sur le dos, les armes près des mains, dirigeait une escouade de troisième ligne, elle ne savait qu’attaquer, les rangs ennemis pouvaient craindre ces hommes. Le troisième, était fin, de taille moyenne, un peu de barbe et peu de muscles. Son équipe était mitigée, ni attaquante, ni défensive, elle savait faire les deux. Leotham engagea la conversation :
-Messieurs, je suis le nouveau Sergent Leotham Kelfra, le Commandant m’a ordonné de choisir une escouade pour l’avoir sous mes ordres.
-Bonjour, Sergent, qui ne vous connaît pas, vous et vos faits d’armes en même temps, je me porte volontaire, au nom de mon équipe. Dit le petit pendant que les autres admirait le sergent qui faisaient tant de dégâts dans les rangs adverses
-Et bien, préparez vos hommes, nous partons en avance sur le reste de l’armée dans une heure tapante, nous irons voir vos compétences… répliqua le sergent avec un sourire sadique.
Leotham marcha aux bords du campement qui était en train de se démonter petit à petit, il regarda et vit les tentes presque démontées, une nuage de poussières enveloppait le tout, les soldats couraient, chargeant les mules, portant les armures. De tout ce raffut sortir le petit Caporal et ses hommes, ils étaient grands, musclés, de véritables forces de la nature.
-Bonjour, soldats, formez les rangs, nous allons un peu courir… Dit le caporal.
Les soldats firent le salut et commencèrent à suivre le Sergent tout en courant. A chaque pas le sol tremblait un peu autour de l’équipe, formant un nouveau nuage de poussières. Le bruit des armures prenaient place dans cette course, soudain la forte voix du Sergent prit place dans ces bruits :
-Nous allons arriver près des restes de l’armée orcque, ils doivent être aux environs de 30, le double de nous. Prouvez votre valeur devant moi !
Au fur et à mesure qu’ils avançaient, on pouvait distinguer des orcs, les mêmes que la veille, au bruit de l’escouade, les bêtes se retournèrent et foncèrent comme des animaux sur l’équipe.
-Formez une muraille ! Epées en avant, votre bouclier protégeant vos cuisses à votre tête !
Ils obéirent directement, comme si ils savaient d’hors et déjà ce que le Sergent allait dire. A ce moment précis, le Sergent eu un terrible pressentiment, comme si l’on tuait quelqu’un de sa famille, sauf que sa famille était en sécurité à Hurlevent, havre de paix et de prospérité… Il regardait ses hommes tuer les orcs. Un quelques minutes le combat fût terminer, l’escouade était redoutable autant en défense contre de petits régiments qu’en attaque contre une armée.
-Bien, vous méritez alors que je sois votre Sergent, vous êtes des soldats extrêmement redoutables vous avez à partir de maintenant le nom d’Escouade du Loup, tiré de mon surnom : « Loup de Givre ». En prononçant ce surnom le Sergent fit un sourire sadique comme à son habitude.
Après ce combat, ils retournèrent auprès du reste de l’armée et se mirent en marche vers Hurlevent, à deux jours de marche…
Deux jours plus tard…
L’arrivée de la 3ème et de la 4ème compagnie d’infanterie et de la 6ème d’artillerie se fit avec d’énormes applaudissements, la victoire se répandait plus vite que le pas à laquelle marchait l’armée. En tête de l’armée, le Commandant, les trois Lieutenants, derrière eux les Sergents, Leotham était sur la droite avec 4 de ses collègues Sergent. Derrière eux, les étendards de l’armée et encore après, les fantassins et un peu plus loin, les mages, les mules, les serviteurs, les écuyers, les armes et tout ce que comprend une armée. Les officiers étaient conviés à une audience auprès du Roi, celle-ci se fit rapidement, les félicitations du Roi, l’augmentation de Leotham fût officielle et inscrite dans les journaux le lendemain. Le soleil tombait lorsque les officiers eurent quartier libre, le soir, une immense fête était organisée, mais Kelfra voulut retourner voir sa femme et sa sœur dans leur maison. Il traversa la ville le coucher de soleil l’éblouissant à certains endroits. Arrivé près de la maison, il s’arrêta… Il y avait un écriteau sur la porte, son cœur se mit à battre, le pressentiment qu’il avait eu quelques jours avant refit surface, il s’approcha, d’un pas lent et lourd et il pouvait lire sur l’écriteau :
« Propriétaire :
Caporal Sergent Leotham Kelfra.
Maison réquisitionnée, objet : Meurtre. »
Le mot « meurtre » raisonna dans sa tête pendant dix minutes, jusqu’au moment où la voisine qui fermait ses volets vit Leotham devant la porte, les mains pendantes, désespéré.
-Bonsoir Leotham, viens dormir chez moi ce soir, je pourrais tout t’expliquer ! Dit la femme avec un air neutre.
Leotham rentra dans la maison de la dame et se mit à discuter des évènements.
-Que se passe-t’il donc Dame ? Commença Leotham.
-Hum… Et bien, votre famille est décédée la semaine dernière… Assassinée…. La rumeur court que ce sont des hommes de nobles d’Hurlevent. L’autre rumeur est que la Garde ne fait pas grand chose pour arrêter le coupable, la Garde est corrompue Kelfra… Répliqua la femme.
Leotham, courageux, garda ses larmes pour lui et partit avec politesse de la maison et partit voir des informateurs à son service. Arrivé à la taverne, il entra et vit une tablée de trois hommes, de beaux habits, des bières devant eux, ils parlaient tranquillement. Le Magelame prit une chaise, la posa violement à la table, s’assit et dit en arrêtant les conversation des trois hommes :
-Ma femme et ma sœur sont mortes, la Garde ne fait rien pour arrêter les assassins qui sont des hommes nobles. Qu’avez-vous comme renseignements à me donner ?
L’homme en face de lui se mit à rire puis prit la parole :
-Il n’y a pas plusieurs nobles, il n’y en a qu’un seul. Drake Kilfre, il tient sa fortune de sa contrebande d’armes, et plus officiellement de ses ventes de nourritures, mais ça ce n’est que pour faire taire la Garde, qui est comme tu le sais déjà, corrompue par ce noble et tes Lieutenants, ceux de la 3ème et 4ème d’infanterie. Ensuite, la Garde ne fait rien car si un soldat enquête sur un officier, il se fait suspendre de ses fonctions, et maintenant, je pense que tu vas vouloir les tuer ? Chose impossible à faire Leotham, sauf si tu tiens vraiment à mourir sans les avoir tous tués.
Le sergent resta bouché bée de cette prestation, toutes les informations qu’il désirait étaient ici, ces informateurs étaient vraiment remarquables…
Il passa la nuit dans une vieille auberge pour ne pas trop utiliser son argent. Le lendemain il se rendit au secrétariat de l’infanterie et présenta sa démission. Personne n’a essayé de le retenir, il était vu comme un traitre parmi l’armée.
Les jours passèrent, les larmes coulèrent, la rage s’atténuant, ayant l’esprit plus clair et les idées lucides, il prit une décision :
-Maintenant que je ne suis plus sur les fronts, je vais développer mes capacités du Givre au détriment de celles plus guerrières.
Les maîtres n’étaient pas rares à Hurlevent, allant du Feu au Givre en passant par les arcanes, il trouva un digne maître du nom de Luthnor Casiasim. Sa spécialité était le Givre, celle qui l’avait empêché de rester dans les mages du Kirin’Tor, fin tragique pour sa part. Deux années s’écoulèrent, la vengeance grandissant à la moindre seconde, comme une maladie qui rongeait le corps de la victime. Il gardait sa détermination, son courage et son envie de s’améliorer dans l’art qu’il a laissé de longues années sur le côté. Quand son maître jugea que Leotham ne pouvait plus rien apprendre de sa main, leurs chemins se divisèrent tout en gardant contact de temps en temps par la suite. Les progrès étaient considérables, tout en gardant sa force physique il avait réussit à améliorer la puissance de ses pouvoirs. Former une aura protectrice ou même un bouclier de glace était presque instantané, ses javelots de glaces étaient plus rapides et plus puissants qu’autrefois. Le Magelame parcouru la cité de long en large pour trouver les informations sur ce fameux : Drake Kilfre, chose peu difficile quand la personne est suivit par une dizaine de personnes, il fallait juste poser des questions indirectes aux suivants du Noble. Leotham apprit qu’il partait à Austrivage une fois par an pour récolter les gains de l’armée, oui, ce Noble était le lèche-botte des officiers. Une embuscade pouvait l’anéantir facilement, mais seul contre des gardes, la tâche allait être dur pour Leotham, mais il suivait cet ordre :
« Qui ne tente rien, n’a rien. Le reste de ma vie sera donnée à ma vengeance… ».
Leotham partit vers Austrivage pour préparer quelque chose pouvant nuire à Drake Kilfre, et savoir pourquoi il a programmé l’assassinat de sa femme et de sa sœur…
[La suite du récit que vous lisez s’établit d’une autre manière, surement un autre auteur]
Chapitre 2: Le Nouveau Départ.
Tout ceci, ces combats, ces envies de me venger, de faire le bon, de voir vivre ma famille, tout ceci, n'est qu'un lointain souvenir, une trace en moi qui a disparut depuis bien longtemps. Maintenant, les temps ont changés.
C'était un jour de pluie, lors de mes différents périples à la traque de Drake, j'ai rencontré un groupe d'hommes, d'Hurlevent, qui partaient au nord, combattre le fléau, ce jour, fût celui de ma chute, mais aussi de ma renaissance. nous nous sommes fait détruire littéralement par les troupes du Roi-Liche. Ce-même Roi, m'a fait revenir d'entre les morts, sous la forme d'un Chevalier de la mort, sa raison, je ne la connais pas, sûrement parce que j'avais été le dernier en vie du groupe...
Après plusieurs mois passés à son service... Son Généralissime envisageait de se rebeller, et de libérer les chevaliers de son joug..
Quelques mois après, le combat éclata dans Achérus, au début je servais le Roi-liche, comme un bon chien, mais d'un seul coup, une partie en moi se réveilla, m'ordonnant de me rebeller à mon tour. Et je me rangea du côté de la Lame-d'Ebène. Le combat fût long, et non sans sacrifices, quelques noms comme celui de Seregon, avait été cité plusieurs fois pour son héroïsme au combat. Moi, je me faisais isolé, préservant des regards mes compétences, le gardant pour plus tard, si j'en avais besoin...
C'est après ce combat, qu'un des chevaliers de la mort avec qui j'avais combattus, me donna un journal, le mien, et je pris connaissance de mon autre vie. A sa lecture, cette soif de vengeance en moi, ne naquit pas, rien, pas un seul sentiment envers ces crimes. J'avais changé, extérieurement, mais intérieurement. C'est ainsi qu'Amal'Thazad me prit pour élève, aux côtés de ce fameux Seregon. Je me faisais discret, mais mon potentiel augmenter, tout en le cachant des autres, les envieux étaient partout. Et à partir de ces jours d'entrainements rudes et longs, je pris le nom d'Eynes Gothalgos, ou plus communément, le Givre Vengeur. Ce nom m'a été inspiré par ce fameux journal, que je décide de garder, et de continuer à écrire.
Après plusieurs années, je fis mon entrée dans un bataillon de chevaliers, peu de temps après le Maléfice naquit. Nous avons combattus plusieurs mois, et c'est ainsi que plusieurs bataillon furent envoyés dans les terres du Sud, pour que la Lame-d'ébène trouve une réputation auprès des autres factions. Mon bataillon, lui, se fit exterminé, je fus un des seuls survivants, qui décida de poursuivre son objectif. Sans bateau, j'ai réussis à atteindre le Loch Modan, j'ai entendus dire que le bataillon de Seregon était sur place.. Nous allons voir cela, nul ne me connait, seul mon tabard me sauvera dans ces contrées vivantes...