Faust du Culte des Cendres

Faust du Culte des Cendres

Ce soir là, le tonnerre grondé, le vent émettait un bruit comparable à une nuée d'insectes pestiférés... La seul image que j'avais en tête était un gouffre de glace sans fin ou je m'enfonçais petit à petit vers une lumière écarlate qui me terrifiée. Mes autres sens étaient troublés par le froid. Cependant, OUI! Je me souviens d'un son, un rire sadique qui résonnait dans ma tête.


Ceci est le dernier souvenir que j'ai en tant que vivant, à mon réveil j’étais sur une table d'opération semblable à celle que nous pouvons trouver pour égorgé les porcs. Soudain une silhouette narquoise avec une façon de rire, ce rire! C'est celui que j'entendis dans le gouffre! Elle s'approcha de moi derrière un masque qui couvrait entièrement son visage et me dit: «Qui est ton maitre ?" Ne pouvant répondre je le montrai du doigt comme-ci cela était une évidence. Les effluves de son essence embaumaient l’air, défiant les notes acres de mon propre sang. J’esquissais un léger sourire, avant de fermer les yeux, grimaçant sous les nouveaux assauts de la douleur qui me tiraillait.


Quand je revins a moi je me trouvais face à une armure lourde de couleur noir et une épée si grande qu'elle devait faire ma taille. J’ai enfilé mon attirail et j'ouvris la porte de ma loge. Je vis celui que j’appelai mon maître entrain de procédé à une expérience farfelue, Devant lui se tenait un humanoïde de taille très conséquente dépourvu de tête. La chair était en piteuse état, Certaine partie était grossièrement recousue. Le bras gauche était un torse d'enfant ficelé à une main colossale La folie de la scène dépassait l'entendement. Au centre du torse il y avait une énorme mâchoire. Des dents disposées de manières aléatoires formées un sourire bien malsain. (Cette scène a été écrite par mon collègue Hante).

[Musique: Dagoba - Abyssal]
http://www.deezer.com/fr/search/Dagoba+abyssal

Voyant ce réprouvé travailler activement sur cet étrange assemblage de chair. Je compris qu'il était mon maitre et je me mis a genoux le, bruit métallique de mon armure trahit ma présence il se retourna et d'une voix douce mais autoritaire, envoutante mais désincarné. Il me demanda: "Qui est ton maitre ?" je lui répondis "Vous!" Il prit ensuite soin de m'expliquer la raison pour laquelle j’existais, ma vie avait comme utilité de garder le culte des cendres et en particulier son maître au péril de ma vie. Il me nomma Faust, comme le héros du roman celui qui fit un pacte avec la mort, un livre qui traine dans sa bibliothèque entre les livres sur la fabrication des golem de chair.


Plusieurs jours s'en suivirent depuis ma renaissance, mon maître m'appris quelque principe de la nécromancie mais je n'étais pas très doué, je maitrisais mieux la destruction que la précision. Mais ce jour là j'ai trouvé une lettre dans un tas de tissus déchirés. Lorsque j'ouvris cette lettre un frisson me parcourra, comme si je l'avais déjà lu. Je ressenti une sensation étrange comme si un éclair me foudroyer. je venais de trouver mon première indice sur ma vie passée . . . [à suivre]